The Nice House By The Sea Tome 1

James Tynion Iv-Alvaro Martinez Bueno


langue indéterminée | 25-04-2025 | 200 pages

9791026828020

Livre


25,00€

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Brève description / annotation

Aucun des douze convives de cette belle demeure en bord de Méditerranée ne connaissait Max. Elle connaissait pourtant chacun d'entre eux. Experts dans leur domaine, géants de l'industrie et du savoir moderne, chacun d'entre eux est l'excellence personnifiée. Pour échapper à la fin du monde et incarner l'avenir de l'Humanité, tous ont accepté en leur âme et conscience de se réunir dans ce petit paradis créé rien que pour eux, abandonnant vie et proches à leur triste sort. Survivre à la mort programmée de l'humanité ? Vivre éternellement ? Que pourrait-il y avoir de mal à ça ?

Détails

Code EAN :9791026828020
Auteur(trice): 
Editeur :Urban Comics
Traduit par : Maxime Le Dain
Date de publication :  25-04-2025
Format :Livre
Langue(s) : langue indéterminée
Hauteur :321 mm
Largeur :213 mm
Epaisseur :20 mm
Poids :1140 gr
Stock :Disponible sur commande
Nombre de pages :200
Collection :  Grand Format Urban

Une belle maison faussement accueillante

The Nice House on the Lake a été un coup de cœur à sa sortie. Il y a déjà deux ans. Le synopsis était simple. Dix personnes sont invitées par leur ami commun à passer un week-end dans une belle demeure au bord du lac. Lors de la première soirée, la fin du monde survient.

J’attendais avec une certaine impatience ce nouvel album. Malgré son nom, The Nice House by the Sea est une suite directe.

Dans son premier chapitre, le titre joue avec son public en présentant une nouvelle maison et des nouveaux personnages. Le contre-pied est total. Les dix personnes sélectionnées sont des pointures dans leur domaine, la maison en bord de mer est idyllique. Très rapidement, la façade s’effrite, et des personnalités froides se révèlent.

Alors que le lecteur pense que James Tynion se lance dans un récit similaire au premier cycle, un rebondissement change la donne. Dès lors, l’histoire alterne entre les deux maisons. Grâce au sens du dialogue de son auteur, le scénario est prenant.

Il faut reconnaitre que la partie graphique est au diapason. Alvaro Martinez, au dessin, et Jordie Bellaire, aux couleurs, créent une ambiance oppressante. Les décors sont beaux, mais souvent austère. C’est visuellement très impressionnant.

Vous l’aurez compris à cette longue critique que j’apprécie énormément la série Nice House, et ce nouveau tome ne fait que confirmer mon amour pour l’œuvre.


Par Nicolas Dohet